Publié le :
21 mai 2021
Catégories :
Mode
Fondée en 1888 par René-Jules Lalique, cette maison de luxe - dont le premier amour a été la joaillerie - est devenue un véritable symbole. Elle a su se diversifier en proposant des flacons de parfum sublimes, des collections pour la maison et en se mettant au service de l'art contemporain. Elle allie techniques traditionnelles - dessin et modelage - avec techniques modernes - numérisation et impression 3D.
C'est en 2007 que Paul Vasileff, jeune designer de seize ans, sort sa première collection, qu'il a dessinée et cousue lui-même à la main, après avoir appris à coudre avec sa grand-mère. Aujourd'hui âgé de 29 ans, sa marque est devenue une icône nationale qui s'inspire des contes de fées et des fables. Le créateur met tout en ceuvre pour sublimer l'individu. Ses collections se veulent authentiques et porteuses d'une histoire. Elles sont toutes faites mains en Australie.
Jean-Honoré de Fragonard était un peintre qui a vécu de 1732 à 1806. Il a développé très jeune un véritable goût pour la peinture. Sa mise en relation avec certains artistes de l'époque lui a permis d'acquérir une maîtrise technique essentielle, qui lui a ouvert les portes d'une école prestigieuse. Il consacrera son art dans les portraits, paysages, scènes de genre et scènes mythologiques ou religieuses. Une marque a par ailleurs pris son nom en hommage à l'artiste.
J’aurais dit le dragon. C’est la créature asiatique chinoise par excellence mais qui existe dans plusieurs cultures et sous différentes apparences. C’est intéressant de voir cette diversité - je l’avais d’ailleurs traitée en sujet de rédaction pour mon école.
Depuis que je suis petite mes parents sont mécaniciens, autrement dit, ce sont des ouvriers qualifiés en vêtements de textiles. Ils ne les dessinaient pas mais ils reproduisaient les prototypes qu’on leur donnait et réalisaient la série qui partait ensuite en magasin. Ça me fascinait de voir comment un simple dessin pouvait prendre vie. Imaginer et créer, c’est vraiment ce qui m’anime.
Créer ma propre entreprise est un rêve que je cultive depuis que j’ai 10 ans. Au début, je voulais être styliste-modéliste. Je passais mon temps à dessiner des vêtements. J’ai intégré un lycée d’art et j’ai commencé à faire de la broderie par hasard, sans savoir que c’en était. C’est grâce à l’une de mes professeurs de dernière année que j’ai changé de voie trois mois avant le choix des vœux. Elle a mis en lumière mes compétences pour la couture et m’a ouvert les yeux sur la pratique : c’était de la broderie. Pour elle, le stylisme ne me convenait pas car je risquais de rester derrière un ordinateur à concevoir des modèles plutôt que d’être dans un atelier à fabriquer. Ça a été un grand changement de perspectives car cela faisait huit ans que j’avais ce même rêve. Après m’être rendue aux portes ouvertes d’une école spécialisée dans les arts textiles avec des spécialisations en broderie, cela a sonné comme une évidence.
Ce sont les différents stages que j’ai pu faire. Le premier chez une auto-entrepreneuse qui travaillait dans les bijoux textiles. Elle fabriquait tout de A à Z et même si elle était dans une situation compliquée car elle devait tout gérer, je trouvais ça passionnant. Maintenant, elle en vit très bien d’ailleurs. Mon second stage était dans une grande entreprise, un sous-traitant de Chanel. L’échelle n’était pas la même, nous n’avions pas de limites de temps ou de budgets, rien n’était impossible. Seulement, nous devions créer au nom d’une marque, derrière laquelle l’individualité de chacun disparaissait. Quand je crée, je donne une part de moi-même, et je n’avais pas envie de le retrouver au nom d’un tiers. J’ai donc décidé d’avoir mon propre atelier.
Aujourd’hui, je n’en vis pas. Je suis salariée à côté mais le but c’est d’en vivre, créer toute ma vie.
Je pense que ce sont les broches. Elles peuvent se placer partout, sur un sac, pull ou autre, alors qu’un collier par exemple a déjà une fonction définie.
Niveau couleur j’aime beaucoup travailler sur du blanc car pour moi c’est la feuille blanche où toutes les idées peuvent prendre vie. Si on me donne d’autres couleurs, j’ai l’impression d’être un peu plus limitée. J’aime bien également travailler avec du fil phosphorescent, il crée des reflets et joue avec la lumière. Enfin, j’adore les paillettes. Toutes ces petites choses créent une certaine magie.
C’est une pierre que j’aime beaucoup car elle est blanche et elle a des nuances variées selon l’angle de vue - opalescent, irisé, voire bleu. Elle fait vraiment partie des pierres naturelles qui, au contact de la lumière, peuvent faire apparaître des choses qu’on n’aurait jamais vues.